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Paru le jeudi 20 novembre 2014

Sonic Boom : La Revue de Presse anglophone

Sur tous les sites anglophones, les journalistes vidéoludiques se déchaînent. Telle une armée de Jean-Pierre Coffe s’exclamant que "C’est de la merde !" ou un casual sur la boîte de Demon Souls, ils ne cessent de faire pleuvoir des coups sur le jeu, chacun ayant une importance manifeste sur l’accueil du jeu par le "joueur renseigné moyen", car dans bien des cas l’avis d’internet prévaut sur l’appréciation personnelle.

Le monde est sombre, que de tristesse,
Sonic Boom est sorti, ça fait mal au fesses,
Allez les amis, c’est l’heure de la...

Une revue de presse ou "relevé de presse" est la synthèse des titres de presse généraliste ou spécialisée, wesh
- Captain Wiki

Nous allons ici nous atteler à un exercice dont se gardent généralement les forums et autres sites francophone spécialisé sur le monde de Sonic : Il s’agit d’une revue de presse. Je ne vais pas exposer ici mon propre avis, mais étaler celui des autres, de manière à en faire une synthèse cohérente. Qu’est-ce qui ne va pas avec Sonic Boom : The Rise of Lyric ?

Pour connaître l’avis des ténors, ’suffit d’éplucher Metacritics et les articles qu’ils met en avant. Ces relais d’opinions que sont les sites journalistiques permettront sans doute d’avoir un aperçu des grandes lignes de la presse anglophone américaine qui a eu accès quelques jours avant nous à ce nouveau Sonic. Il est clair que je ne vais pas non plus éplucher TOUT les avis, juste recouper ce sur quoi sont d’accord quelques uns des plus grands sites. Je vais donc exposer ici les avis de Gamespot, Game Informer, Slant Magazine et IGN. Cet échantillonnage devrait suffire à la construction d’une critique cohérente sous l’étiquette grossière "Avis majoritaire des journaux anglophones".

Sonic Boom : The Rise of Lyric est sorti aux US et au Canada le 11 novembre 2014, soit, à peu près une semaine à l’heure où j’écris ces lignes. Cela a suffi aux journalistes pour pondre leur articles. Comme l’ont signalé d’autres avant moi, le jeu a été livré partout à la même date. Les journalistes n’ont pas pu l’obtenir avant tout le monde, comme c’est la tradition, ce qui peut expliquer une certaine mauvaise disposition de ceux-ci à l’égard de SEGA. Et IGN commence par une balle en pleine tête.

"Quelle caractéristique définit le mieux les jeux de la série Sonic ? Si votre réponse à cette question est le mot "vitesse", attendez vous à vous sentir arnaqué dès les 3 premières minutes du jeu Sonic Boom : The Rise of Lyric." (IGN)

Boom ! Oui, les sites n’ont pas été tendres. Allez, on s’y met.

Le Scénanard

Commençons par l’histoire. Si vous avez regardé les playthroughs, vous avez probablement vu que le scénario se résume à ses plus simples artifices : Lors d’un affrontement contre Eggman, Sonic, Tails, Knux et Amy ont réveillé une sorte de Serpent Cyborg, qui aura pour seul et unique objectif de détruire l’environnement et de tout robotiser.

"Malheureusement, l’histoire n’arrive jamais à décoller." (Gamespot)

"La trame scénaristique bâclée de RoL est un bon indicateur quant à la qualité générale du jeu : en berne." (Slant Magazine)

"L’histoire est un insipide défilé purement rhétorique, assaisonné de cinématiques nerveuses et d’humour cartoonesque à nous faire lever les yeux au ciel." (Game Informer)

"Les scénaristes n’ont eut aucune honte à recycler des clichés connus comme le loup blanc, car rabâché à chaque spectacle pour enfant (« Je connais ta faiblesse, Sonic. Ce sont tes amis ! » « Ils ne sont pas ma faiblesse. Ils sont ma force ! »)." (IGN)

Mais Ferme ta bouche !

Un point qui revient très souvent dans ces critiques, et que quelques personnes semblaient avoir déjà décelé dès les premières vidéos de gameplay, c’est que les personnages jouables, Sonic, Tails, Knux et Amy ne cesse de jacasser sur des sujets à l’intérêt douteux, mais de façon quasi-convulsive, et apparemment très dangereuse pour les nerfs et la santé mentale des journalistes.

"(...) Big Red Button insiste, et force sur le côté chiant de l’équipe, la nouvelle attitude extravertie et excentrique des personnage. Ceux-ci répètent des tonnes de fois des répliques, des blagues one-liner (blagues courtes, ndlr) infectes comme « C’est un bien bel anneau à son doigt. » ou encore « Stop, lâche et roule ! ». Ils ne la ferment pour ainsi dire jamais, ne manque jamais de faire remarquer à quel point ils AIMENT les anneaux. Même le Dr. Eggman s’y met en crachant de pauvres références aux memes internet : « Nailed it ! » ou « That. Just. Happened. », (intraduisible, ndlr)." (Game Informer)

"(...) Les héros ne sont pas trop mal animés. Mais ils ne la ferment jamais, jetant constamment des blagues one-line, qui vont des joyeux encouragement aux atroces fausses blagues." (IGN)

À croire ce que racontent les journalistes, je suis plus drôle que les personnages de Sonic : The Rise of Lyric, ce qui est un petit pas pour moi mais une gros bond en arrière pour la qualité générale de la narration, qui était déjà jugée relativement mauvaise dans Sonic Colours et surtout Lost World.

Le Gameplay aux fraises

Autre point sur lequel s’accordent les journalistes, de façon quasiment unanime, même "Hardcore Gamer" (qui a donné un score de 50% au jeu et qu’on va évoquer à nouveau plus bas) et les Youtubers s’y étant essayé : Le gameplay. Il semblerait que les phases de plate-forme aient laissé encore davantage la place au beat-them-all, comme dans certains passage de Sonic Heroes. Les défauts du systèmes ont été largement dénoncés par les testeurs.

"Malheureusement, Rise of Lyric tente d’être plusieurs type de jeux en un seul, mais ne parvient à être compétent dans aucun d’entre eux. Le combat est une affaire répétitive, celle de marteler le bouton Y encore et encore jusqu’à ce que mort s’en suive. Vous pouvez certes faire des esquives, mais, à l’exception des boss, c’est rarement nécessaire. Vous vous battez contre le même type d’ennemi durant tout le jeu, venant parfois plus nombreux..." (Gamespot)

"Eh, la simplicité des combats serait sans doute moins dramatique si elle était mieux taillée et plus lié à l’exploration des environnements. Au lieu de cela, on a droit à de grandes arènes Devil May Cry-esque du plus mauvais effet, qui signifie donc, vague, vague et vague d’ennemis qu’il vous FAUT mettre en morceau, sans quoi l’accès à la suite du niveau est fermé." (IGN)

La répétitivité ne semble pas être le seul problème. Ici, Game Informer fait un encart spécial à l’intention du lasso-laser vu dans le jeu, l’une de ses innovations.

"Viser avec le bon ennemi est une épreuve absconse. Le lasso bloque bien souvent sur la mauvaise cible, ouvrant votre garde et vous exposant aux attaques ennemies. Et lorsque le lasso ne fonctionne pas, que l’ennemi se retrouve dans les airs, il fait des dégâts en retombant sur vous ou vos alliés." (Game Informer)

Game Informer persiste en déclarant clairement que les personnages sont déséquilibrés et inégaux vis-à-vis du placement de mandales.

"Passer d’un personnage à l’autre en plein combat peut sembler, initialement, être un concept plutôt cool. Mais une fois que vous réalisez que Knuckles est le plus puissant du casting, il n’y a aucun à mixer en changeant de perso." (Game Informer)

Peu d’état est fait des phases de vitesses, qui consiste à des jeux de réflexes sur des pistes prédéterminées. Les avis sont aussi réservés :

"Il s’agit de marcher sur une toute petite piste, évitant des obstacles et récoltant des anneaux, (...) sans jamais avoir l’impression de vraiment contrôler le personnage. La chute du framerate (nombre d’images par seconde, ndlr) entraîne aussi un manque de précision, précision nécessaire au regard d’une maniabilité délicate" (Gamespot)

"Big Red Button est relativement méconnu dans l’industrie, malgré la présence de Bob Rafei (travaillant auparavant chez Naughty Dog), ayant contribué à Crash Bandicoot, Jak et Daxter, et Uncharted. SEGA avait probablement eu l’espoir de récupérer la magie de ces titres respectifs. Mais Rise of Lyric a raté son coup, et a surtout réussi à souligner à quel point les anciens plateformers à succès de Naughty Dogs avait pris un coup de vieux." (Slant Magazine)

"Le Gameplay rappelle beaucoup celui d’un certain Ratchet & Clank. Bien que cela ne le condamne pas automatiquement, RoL recycle très mal ces mécaniques." (IGN)

D’autres remarques plus épisodiques sont faites sur l’Open-world, et à leurs 2 hubs plutôt vide, et dans lesquelles on se perd facilement.

Mais je vais laisser le mot de la fin à Game Informer, qui joue aussi les francs-tireurs.
"À noter que Sonic n’est JAMAIS plus rapide que les autres personnage (choix bizarre pour des développeurs sensés, Big Red...)" (Game Informer)

Ce qui est alors relativement handicapant pour parcourir les larges open-worlds vides. Ceux qui ont joué à Sonic 06 penseront sans doute à Silver et à la grande vallée toute plate bordant Soleanna, à parcourir de long en large à une vitesse d’escargot : Ici, le problème semble encore plus ancré au sein du jeu.

Les Graphisme, une catastrophe qui se voit

Quand je parle de graphisme, vous savez qu’il est possible de parler de deux aspects dans un jeu, qui ne sont pas forcément liés : L’esthétique (la beauté du jeu ressortant de son design) et la technique (ses capacités d’affichage, l’anti-aliasing etc.). Apparemment, RoL semble foirer sur les deux aspects.

Alors bon, certes, le design, beaucoup ont râlé dessus avant que le jeu ne sorte. Pourquoi s’arrêter une fois le jeu sorti ?

"Sonic, Tails, Knuckles et Amy ont tous l’air vaguement différents de leur premières incarnations, et sont partiellement enroulés dans des bandes blanches, semblables au plus négligé des costumes de momie pour Halloween."
(Game Informer)

"Pourquoi les personnages ont-ils ces bandes blanches, digne d’une momie de Scooby-Doo ? Qu’est-il arrivé aux mains de Knuckles et à son torse ? Pourquoi Sonic arbore-t-il un foulard d’un rouge criard ? Même le docteur Eggman, ayant apparemment cherché à perdre du poids, a abandonné sa signature originelle, son corps ovale. Il ressemble plus à un Gru moustachu du film "Moi moche et méchant"(...) " (Slant Magazine)

Question de goût, diront certains, car tous les magazines ne s’accordent pas sur ces changements de design. Certains n’en parlent guère. En revanche, et là c’est plus grave, personne ne ferme les yeux sur les problèmes techniques rencontrés.

"L’année où la Wii U nous a donné un Donkey Kong Country : Tropical Freeze, Mario Kart 8, Bayonetta 2 et ses capacité, Sonic Boom est simplement inacceptable en 2014. Les environnements sont emplis de couleurs baveuse, de textures non polies, et des PNJ clairement inachevés." (Slant Magazine)

Bogue ôta (le plaisir du jeu)

"Le monde de Sonic est plus rempli de bug (insecte en anglais, ndlr) que le tunnel d’Indiana Jones 2. Des effets sonores ne se déclenchent pas au bon moment un tiers du temps. Les personnages entrent parfois dans les cut-scene en flottant dans les airs. (...) Suite à un problème relatif à un mur invisible, ma Wii U a crashé, me forçant à redémarrer totalement le système, en perdant 30 minutes de jeu."
(Gamespot)

Sonic Boom semble avoir fait crasher plus d’une Wii U à l’utilisation, comme l’indiquent Gamespot et IGN dans leur article.

"En dépit des longs chargements, très notables lors du passage d’un environnement ouvert à un autre, le jeu, occasionnellement, crash la console." (IGN)

Sans parler des glitchs, comme le déjà reconnu "saut infini de Knuckles" permettant d’accéder à des zones du jeu en pré-chargement, et que le joueur n’est pas sensé voir.

Certains testeurs sur YouTube ont même précisé un cas assez misérable, image à l’appui : Le jeu a un framerate très bas (à l’œil, on évoque du 30 fps), qui chute encore davantage lors des phases de vitesses, et qui s’en trouve absolument terrassé par l’ajout d’un 2ème joueur à la partie. Sans vouloir émettre de jugement, on peut supposer qu’il s’agit d’un point notable quant à l’appréciation du jeu.

Les Konklusions

Peu de choses à ajouter, les conclusions parlent d’elles-même :

"Sonic Boom : The Rise of Lyric est un échec sur certains points fondamentaux relatifs à tout jeu vidéo. S’il est compréhensible qu’une licence veuille évoluer et quitter la simple élégance des origines, un réseau confus d’idées mal connectées n’est en aucun cas la réponse. La licence Sonic mérite beaucoup mieux que cela, et de ce fait, les joueurs aussi." (Gamespot)

"A la base, j’étais très enthousiaste à l’idée que BRB s’occupe du développement de Sonic Boom. J’ai pensé que SEGA allait confier sa licence chérie pour le mieux, qu’un nouveau venu pourrait secouer Sonic, signer un nouveau chapitre vis-à-vis des crises endurées par le passé, par la faute d’une Sonic Team, peut-être trop rigide sur ses principes. Malheureusement pour nous et le hérisson lui-même, Sonic Boom est un trou sans fond d’imperfections." (Game Informer)

"C’est un signe extraordinairement mauvais, lorsqu’un show télévisé basé sur un jeu vidéo est appelé à être meilleur que le matériel de base ! Et pourtant... Même pour les fans les plus hardcore de la tornade bleue, faire fi de Rise of Lyric, et, au lieu de ça, aller voir le dessin animé sur Cartoon Networks (Canal J et Gulli en France, ndlr) chaque samedi matin semble être la meilleure façon de digérer la licence." (Slant Magazine)

"Sonic Boom : The Rise of Lyric n’est pas fondamentalement cassé et injouable. Il est juste incroyablement décevant, déconcertant, peu fini, et lorsqu’il a un peu de fun à offrir, ce fun a été déjà mieux réalisé dans d’innombrables autres jeux." (IGN)

Le pourquoi et le comment n’ont pas leur place ici ; mais ce qu’il y a de sûr, c’est que la presse anglophone en a définitivement fait son 2ème Sonic ’06 : Un Sonic ’14.

Sur YouTube, lorsqu’on s’éloigne des ricanements porcins des Game Grumps, certains YouTubers parlant la langue de Shakespeare, vont même jusqu’à nous confier l’inimaginable : "Même 06 n’était pas tombé aussi bas", comme nous le dit ProJared.

À nous de nous construire nos propres avis et de se distancier d’internet pour faire nos propres diagnostiques sur le jeu. Mais m’est avis que la presse francophone ne sera pas plus tendre, et l’on croit savoir pourquoi.

Les Sources

Les articles ont été traduits avec un maximum de fidélité. Quelques expressions ont été librement changées dans le respect du sens du texte. Par sécurité, voici les articles originaux datant de novembre 2014.

 Voir l’article de Game Informer (13 novembre 2014)
 Voir l’article de Slant Magazine (13 novembre 2014)
 Voir l’article de Gamespot (14 novembre 2014)
 Voir l’article d’IGN (14 novembre 2014)

Par Armadillio le coyote le 20 novembre 2014

Discussions

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Commentaires

  • C’est bien vous avez repris du service ^^…Bon alors commençons mais ,par quoi ! Oui je sais mon titre sera ’’sonic boom ,l’echec total !!!
    Alors deja, quitte a choisir je préférerais sonic 06 qui pour moi était un très bon jeu. (OUI ET ALORS !!!) Je n’ai pas plus tester rise of lirycs oui il n’est pas sorti et oui je n’ai pas la oui ,euh la wii U mais j’ai tester celui sur 3ds en 2d c’est pareil c’est de la "mer**™ " (très bon jeu ...) non je rigole mais parlons de rise of lirycs...

    J’ai vu apeua près tout les glitchs les codes...
    Et c’est pas du mille feuilles avec des ceris...nononon ,(les blagues que je sors sont les mêmes que dans sonic boom) eeeeetbah oui c’est pourri ,c’est nul ,c’est... oui qu’est j’y peux si big red foutbfoutent leurs mer** . (Mais anlevez moi ces bandeaux !!!

  • Très bon article, c’est triste que Sonic se soit raté, je lui met un j’aime/10

  • Et le plus dans tous ça, c’est que c’est même pas SEGA qui a développer le jeu. C’est honteux de la part du studio qu’ils ont engagé.

  • Ha le cheat pause il y a que sa de vrai , ça m’a bien servit dans sonic generation :)

  • sega s’est occupé de sonic boom, c’est juste que bigredbutton a remplacé la sonic team.

  • Est-il vraiment nécessaire de parler de "ricanements porcins" en ce qui concerne Game Grumps ? Contrairement à ce qu’on peut penser, Arin s’y connaît vraiment en matière de game design (et je ne parle pas de ses Sequelitis qui versent trop souvent dans la caricature, mais des longs monologues réfléchis dans lesquels il se lance en convention, disponibles sur Youtube). On me rétorquera peut-être qu’il est notoirement critique envers la franchise Sonic en général. Certes. Mais comment expliquer que Danny, qui de son propre aveu n’est pas un gros joueur, relève souvent les défauts du titre ? Peut-être que ces défauts sont réellement criants, et ne relèvent pas de critiques gratuites et biaisées comme l’article se plaît à le laisser entendre ?

    La comparaison avec les émissions de ProJared relève quant à elle de pure malhonnêteté intellectuelle ; il aurait été de bon ton de souligner que la visée des deux chaînes est radicalement différente, l’une étant tournée vers des critiques exhaustives et argumentées, l’autre étant une chaîne de Let’s Play improvisés, sans aucun travail d’écriture. Mais j’imagine qu’il est plus facile d’utiliser la méconnaissance de son lectorat et d’exprimer des jugements à l’emporte-pièce en les faisant passer pour sérieux.

  • Justement : La comparaison entre ProJared et GameGrumps n’est pas faite, relis bien ; Je sépare le bon grain de l’ivraie en ne se laissant pas aller aux (bien trop cités et présenté comme exemple) franc-parler de deux "animateurs" (auquel est accordé moins d’une ligne), pour se concentrer sur la chaîne d’un testeur, qui présente un travail de critique un poil plus professionnelle, sur laquelle les articles des journaux semblent s’accorder, par ailleurs. Critique biaisé ou non, ce ne sont que des déclarations faites par ces sources, qui ont le bon goût de ne pas être parasité par des ricanements incessants : C’est ce que l’article souligne.

    Où est donc la malhonnêteté intellectuelle à ce moment ? Si GG est une chaîne très apprécié, il n’est nullement utile de s’en faire l’avocat - Surtout si c’est pour le faire dans l’Anonymat le plus complet (La case "pseudonyme", c’est pas pour les chiens). La critique est facile et je l’accepte, mais si on y porte pas un minimum de soin, adieu, veau, vache, cochon, crédibilité etc.

  • Je n’ai nullement l’intention de me faire l’avocat de la chaîne, ils gagnent déjà suffisamment d’argent sans avoir besoin que l’on fasse du prosélytisme. Je relevais simplement le manque de cohérence dans le fait de juxtaposer les deux chaînes (créant ainsi, qu’on le veuille ou non, un parallèle dans l’esprit du lecteur qui ne connaît pas) alors qu’elles n’ont absolument rien à voir, et ajoutais qu’il y avait parfois du bon dans les remarques de game design des deux animateurs (terme judicieusement choisi). Sans parler du manque de respect criant que constitue le terme "ricanements porcins".

    Par ailleurs, je me demande en quoi l’ajout d’un pseudonyme ajouterait une quelconque crédibilité à ma critique, ou me ferait sortir de cet "anonymat" que vous mentionnez. Pensez-vous sincèrement mieux me connaître grâce à un nom choisi au hasard ? Cela n’a strictement aucun intérêt dans le débat qui nous oppose et me semble une tentative désespérée d’avoir quelque chose de plus à me reprocher. Enfin, j’ai du mal à voir en quoi ma critique "manque de soin", sachant qu’elle est tout à fait respectueuse et argumentée. Faut-il que j’abonde dans votre sens pour que mon point de vue soit pris en compte ?

  • C’est pourquoi je préfère les mangas tout façon ! Car pour moi, les jeux de consoles c’est fini !

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